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rechercher dans ce site jean-paul burdy maître de conférences d'histoire à l'institut d'etudes politiques de grenoble université de grenoble inscrivez-vous à la newsletter rubriques - accueil - chroniques : actualité & histoire - iran : un lexique - turquie : un lexique - publications - cartographie historique - jpb - cv, enseignements, recherches - jpb - publications et valorisation plan du site derniers articles occurrences les plus fréquentes bahreïn & golfe révolutions arabes & palestine turquie - monde turc iran hezbollah libanais - chiisme liens - ovipot - observatoire de la vie politique turque (ifea, istanbul) - sciences po grenoble - institut d'études politiques de grenoble - blog o.da.lage - sur le golfe - blog a.gresh - le monde diplo - blog j.gengler - sur bahreïn - les clés du moyen-orient - site spécialisé - magazine moyen-orient - trimestriel spécialisé - chroniques : actualité & histoire visualisez la liste et la page de titre de mes publications ici publication du 15 novembre 2018 turquie, le grand écart la dernière livraison de questions internationales consacre son dossier central à la turquie, soulignant la présidentialisation d'un régime autoritaire que l'on peut sans doute qualifier de « seconde république » (s.sur, d.schmid, j.marcou). plusieurs auteurs analysent la politique internationale et européenne du président erdo ğ an (j.jabbour, jp.burdy, c.visier, et alii). nous y traitons du difficile positionnement du pays dans le contexte de la guerre en syrie, et des crises du golfe, en cartographiant cet environnement régional. > jp.burdy : « la turquie d'erdo ğ an dans un environnement régional recomposé », paris, la documentation française , questions internationales no 94, novembre-décembre 2018, p. 42-55 analyse du 1er août 2018 socotra, ou les ambitions des eau dans le golfe du yémen plusieurs îles de l'océan indien sont utilisées comme bases militaires par des forces étrangères : diego garcia, dans l'archipel britannique des chagos, louée aux américains : masirah, au large d'oman, utilisée par les américains et les britanniques ; et socotra, investie depuis 2016 par les emirats arabes unis (eau) dans le contexte de la guerre au yémen. nous étudions plus spécialement cette situation sous le titre : >jp.burdy , « socotra, entre guerre au yémen et ambitions émiraties », paris, ed.areion, carto no 49, septembre-octobre 2018, 82p., p.48-49. carte du 18 mars 2018 le dossier géopolitique du monde du 18 mars 2018 est consacré au bahreïn : un long reportage de benjamin barthe: « sept ans de répression »; et une carte géopolitique qui reprend nos travaux de cartographie du conflit politique depuis le « printemps de la place de la perle », en 2011. cette carte est accessible en haute définition sur le site du monde . analyse du 15 mars 2018 bahreïn: un royaume vassalisé le roi salman d'arabie saoudite et le roi hamad de bahreïn, djeddah, juin 2017 la livraison no38 de moyen-orient consacre son dossier principal à la situation conflictuelle du golfe persique, et en particulier aux tensions entre le royaume d'arabie saoudite et la république islamique d'iran. les pétromonarchies arabes du golfe sont sommées de se positionner dans ce conflit. nous consacrons un article au royaume de bahreïn, gouverné par une dynastie sunnite étroitement liée à l'arabie saoudite. dénonçant des discriminations politiques et sociales, la majorité chiite de la population conteste depuis longtemps le régime de manama. lequel attribue cette agitation résiliente à des menées « sectaires [chiites] directement encouragées par l'iran. » la vision politique et sécuritaire du bahreïn repose sur ce discours récurrent sur « la menace iranienne .» au vu de l'histoire du pays et du chiisme bahreïni, cette explication officielle paraît cependant peu étayée. nous développons plutôt la thèse de la prépondérance des dynamiques nationales dans les tensions qui secouent depuis des années, sinon des décennies, ce royaume vassalisé par riyad. > j-p.burdy, « bahreïn : la prépondérance des dynamiques nationales », in : golfe persique. vers une nouvelle guerre froide ? paris, ed.areion, moyen-orient no 38, avril-juin 2018, 98p., p.36-41 analyse du 20 décembre 2017 syrie: le régime sauvé par les russes et les iraniens iraniens, hezbollah et milices chiites en syrie dans la " bataille du désert " à l'été 2017 (carte jp.burdy publiée dans moyen-orient no 36, octobre 2017) capitulation d'alep-est, écrasée sous les bombes, en décembre 2016; reconquête de palmyre en 2016, puis en mars 2017; reprise de raqqa le 17 octobre, de deir ez-zor le 2 novembre, d'al-boukamal mi-novembre: le sort des armes en syrie a basculé plus rapidement qu'envisagé depuis l'intervention militaire russe en septembre 2015. les russes, avec les iraniens (force al-qods des gardiens de la révolution, bassidjis), les milices chiites irakiennes, afghanes, pakistanaises commandées par téhéran, et les combattants du hezbollah libanais, ont sauvé bachar al-assad et son régime, au prix d'un abandon de souveraineté manifeste par damas. pour autant, les perspectives diplomatiques, qu'elles se tiennent à genève, à astana ou à sotchi, sont incertaines, et le blocage politique interne reste total.. > j-p.burdy, « l'évolution du conflit en syrie », paru dans « l'état des conflits dans le monde en 2017 » les grands dossiers de diplomatie no 42 , décembre 201 7-janvier 2018 billet du 5 décembre 2017 turquie. bak: purges à l'université en janvier 2016, plus de 1200 universitaires turcs signaient une pétition dite bak ( b arış için akademisyenler / les universitaires pour la paix ) demandant une relance des discussions entre le gouvernement akp et l'organisation armée kurde pkk. après le coup d’état militaire avorté du 15 juillet 2016 , comme des dizaines de milliers de fonctionnaires, journalistes, avocats, etc. , ils sont pourchassés par le régime : perte de leur emploi, perte de leurs droits à la retraite, confiscation de leur passeport, interdiction de tout emploi public et de fait de tout emploi salarié dans le secteur privé, etc. soutenus par leurs confrères et leurs étudiants (photo) , n os collègues signataires de la bak commencent à défiler devant les cours d'assises d'istanbul, et risquent chacun jusqu'à sept ans et demi de prison. l e calendrier ci-dessous se passe de commentaires sur l'état des libertés fondamentales en turquie... calendrier des premières audiences des procès d'universitaires signataires de la pétition bak en janvier 2016 5 décembre 2017 – université galatasaray (6 universitaires), université d’istanbul (4 universitaires) devant la 35e cour d’assises d’istanbul. 7 décembre 2017 – université galatasaray (3 universitaires), université d’istanbul (8 universitaires) devant la 32ème cour d’assises d’istanbul. 7 décembre 2017 – université galatasaray (4 universitaires), université d’istanbul (8 universitaires) devant la 33ème cour d’assises d’istanbul. 7 décembre 2017 – université galatasaray (6 universitaires), université d’istanbul (6 universitaires) devant la 34ème cour d’assises d’istanbul. 7 décembre 2017 – université d’istanbul (1 universitaire) devant la 36ème cour d’assises d’istanbul. 14 décembre 2017 – université d’istanbul (1 universitaire) devant la 36ème cour d’assises d’istanbul. 19 décembre 2017 – université yıldız teknik (1 universitaire), université teknik d’istanbul (1 universitaire) devant la 36ème cour d’assises d’istanbul. 21 décembre 2017 – université de marmara (5 universitaires), université yıldız teknik (2 universitaires) devant la 33e cour d’assises d’istanbul. 21 décembre 2017 – université galatasaray (1 universitaire), université d’istanbul (5 universitaires) devant la 36ème cour d’assises d’istanbul. 26 décembre 2017 – université boğaziçi (1 universitaire), université mimar sinan güzel sanatlar (1 universitaire), université yeni yüzyıl (1 universitaire), université apriltaşı (1 universitaire) devant la 13ème cour d’assises d’istanbul. 26 décembre 20